Category: Québec

Yael Naim @ Astral

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07 Avril 2011 – C’est dans le cadre intimiste de l’Astral que Yael Naim et David Donatien sont venus ce samedi 7 mai nous présenter leur nouvel opus She was a boy. 3 ans après la sortie de leur premier album éponyme, récompensé en 2008 par une Victoire de la Musique dans la catégorie « Musiques du Monde », ce nouvel opus, fraichement sorti ce 3 mai sur le continent nord-américain, a lui aussi été consacré par les professionnels le 1 mars dernier, Yael Naim ayant remporté le titre d’artiste interprète féminine de l’année lors de la 26e édition des Victoires de la Musique.Read More

Apocalyptica @ Metropolis (Montréal)

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10 Mars 2011 – Après un report de leur show qui devait initialement avoir lieu en décembre passé, Apocalyptica était enfin de passage par le Metropolis ce jeudi 10 Mars. Une occasion rêvée pour profiter des bienfaits du Metal Néo-Classique Finlandais.

Précédé sur scène par les bruyant et tonitruant Montréalais Death Metal de The Catalyst, Apocalyptica prenait place devant une salle aussi sold-out que possible. On The Rooftop with Quasimodo, 2010 et Grace : le show commence en force sur des compositions issues exclusivement de leur dernier opus (7th Symphony), album entièrement composé pour donner plus de punch à leurs performances live. La glorieuse cover de Master of Puppets suivra juste après, histoire de mettre tout le monde d’accord. Les reprises de Metallica et Sepultura s’enchaineront alors, ponctué par des passages sur scène du chanteur Tipe Johnson pour l’interprétation de End of Me, I’m not Jesus, la gutturale Bring them to Light et, bien entendu, I don’t Care.

Après leur dernier passage au Québec pour ouvrir le show de Rammstein sur les plaines l’été dernier, les Finlandais étaient très attendus par leur public Montréalais. Un enthousiasme qui s’est fait plus que largement sentir tout au long de cette soirée. Eicca Toppinen et Perttu Kivilaakso ont assuré une communication énergétique avec leur public, alternant les passages brutaux et la musique classique. Naviguant ainsi une setlist aussi équilibrée que diversifié, les violoncellistes ont su créer une ambiance aussi bouillante que mémorable. Le show se terminera finalement au son de la très connue Hall of the Mountain King, reprise en coeur par un public totalement conquis.

À suivre très prochainement: l’entrevue réalisée avec Paavo Lötjönen juste avant le show ainsi que quelques photos de l’ambiance backstage avec le groupe!

Auteur: Paul Blondé

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 24/70mm

Pour en savoir plus: Apocalyptica

Revolver @ Casa Del Popolo (Montréal)

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Le jeune groupe parisien Revolver a débuté sa première tournée en Amérique du Nord par la ville de Québec pour s’en venir ensuite à Montréal. Leur musique, particulièrement influencé par les Beatles, avec un style pop anglo-saxon aux accents folks, a précédemment mis le feu à de nombreux festivals renommés français tel que les Solidays et les Vieilles Charrues. C’est dans cet esprit là que je me suis rendu à la Casa Del Popolo mercredi dernier.

La première chose qui m’a interpelé en arrivant au show a été la petitesse de la salle qui était complètement “Sold out”. On aurait pu espérer les voir jouer dans une salle plus importante. Après avoir rempli les grandes salles parisiennes, Revolver s’en retourne donc à ses débuts devant un public d’environ 200 personnes composés, à ma grande surprise, aussi bien de francophone que de québécois. De très nombreuses personnes s’étaient donné rendez-vous pour découvrir un groupe qu’ils ne connaissaient très peu ou pas.

Avant le passage de Revolver, le groupe The Beets, venu tout droit de New-York, a su mettre l’ambiance avec son rock de garage. Les fans de Revolver ont su apprécier leur musique complètement déjantée.

Vers environ 10h30, le groupe Revolver s’est installé et a commencé à jouer devant un public complètement comblé dès la première composition. Ils ont interprété des musiques de leur premier album Music for a While comme Leave Me Alone et Get Around Town ainsi que des compositions de leur nouvel EP. Pour finir ce show, ils ont offert au public montréalais une reprise en acoustique de Crosby Stills&Nash qui est Helplessly Hoping, avec seulement 1 guitare et leurs 3 voix.

Pour conclure sur cette soirée, Revolver m’est apparu comme un groupe fortement sympathique, très ouvert à son public et doté d’un très grand talent. On leur souhaite une bonne continuation dans leur tournée nord-américaine.

Auteur: Antony Chardon

Équipement: Nikon D700, 24-70mm

Pour en savoir plus: Revolver

Cradle of Filth @ Metropolis (Montréal)

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Ah, Cradle of Filth. Un des groupes de Black Metal les plus connus à sortir de Grande-bretagne. Avec une carrière qui s’étale sur 3 décennies, ce sont des musiciens chevronnés qui se sont présentés sur scène le dimanche 27 février dernier.

En ouvrant avec trois pièces de leur opus de 1996 Dusk… and her embrace, suivies par des chansons beaucoup plus récentes, les britanniques ont clairement manifesté leur désir d’avoir une tournée complète et représentative de leurs parcours musical, et pas seulement dans le but de promouvoir leur dernier album. Cela va sans dire, des morceaux plus récents ont également sussuré leurs mélopées jusqu’au plus profond de notre canal auditif, par exemple Lilith Immaculate, de leur dernier album.

Si la scène était mise pour une prestation hors du commun, le spectacle a néanmoins été plus fade que ce à quoi le sextet britannique nous a habitué. Le manque d’extravagances n’a cependant pas refroidi les ardeurs de la foule, qui a littéralement vibré sur l’assaut sonore du groupe.

Auteur: Alex Luca

Équipement: Nikon D3s, 28-70mm, 50mm f/1.8

Pour en savoir plus: Cradle of Filth

Gareth Emery @ Circus Afterhours (Montréal)

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Le DJ anglais de renommée international, Gareth Emery, revenait à Montréal vendredi dernier pour la troisième fois en moins d’un an. Cette fois-ci pour promouvoir la sortie de son album, mix de l’orignal Northern Lights Re-Lit sorti il y a de cela quelques mois.

C’est donc en septembre dernier que Northern Lights atteignait les bacs, donnant au monde entier un aperçu du tout premier album du talentueux Gareth Emery. Après avoir connu un certain succès avec le label Garuda, tournant autour du monde pour remplir les clubs, Gareth Emery décidait récemment de lancer un album incluant des remix de toutes les compositions de l’album original. C’est ainsi que nous avons eu la chance d’entendre en exclusivité un grand nombre de ses compositions durant le set de vendredi dernier, incorporé à intervalles réguliers dans la set-list au cours de la soirée. Un set d’ailleurs plutôt agressif qui a directement débuté par Citadel, dévoilant un Gareth Emery pressé de faire monter l’énergie de son public. Rapide et efficace. 3 heures pour montrer ce qu’il a dans ses clés USB, Gareth n’est pas là pour niaiser. Et la recette marche car la foule entre en délire quasi instantanément et ne semble prêt à s’arrête de danser sous aucun prétexte.

On a aimé: lire la surprise sur les visages des ravers lorsque Gareth joue des mashups inattendus tels que Dustin Zahn vs. Mark Simz – Forbidden Stranger et The Wonder vs Falling. Après s’être adressé au publique lors d’une courte pause il terminera son set avec Mistral, de loin notre production préférée concoctée par ses soins, datant de l’époque où il jouait sous son alter ego de GTR.

Texte : Michael Chidiac, Paul Blondé

Photo : Michael Chidiac

Equipement utilisé: Nikon D3s, 24-70mm, 50mm f/1.4, SB-900

Pour en savoir plus: Gareth Emery, Citizen Montreal

 

Super8 & Tab @ Imperial Room (Montréal)

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Super8 & Tab, duo de producteur respecté sous le label de Anjunabeat, venaient nous rendre visites pour un tout premier show au Imperial Room, rue Crescent.

De passage en solo au BeachClub cet été, nous n’avions eu que la chance de voir DJ Tab. Mais cette fois-ci Super8 était bien de la partie pour compléter le duo! Commençant leur set en force, il fut un peu décevant de les voir rapidement tomber dans le style caractéristique leur label d’adoption : de longs breakdown jumelés à des sons très mélodiques. Un style et une orientation de la soirée que nous avons su apprécier… avec modération. Il faut avouer qu’après une heure et demie on a vite commencé à trouver ça un brin overkill. Mais ceci reste notre avis, au regard du public qui semblait vraiment apprécier sa soirée, réservant un accueil vraiment chaleureux à des hits récents du duo comme My Enemy et Empire.

Vous l’avez sans doute compris, nous avons davantage tripé sur leurs plus anciennes compositions telles que Elektra bien que nous aurions souhaité entendre quelque chose comme 5 (De Aalto, groupe qui était composé de Super8 et Paavo de Above & Beyond). Mais halte à la mauvaise fois: tout est bon tant que l’on sait à quoi s’attendre de ces deux DJs finlandais.

Pour ce qui est de l’éclairage et structure de la pièce: rien à redire, tout a fait sublime. Un grand écran LED placé en arrière le booth à nous couper le souffle. Le tout en tandem avec des petits moving lights qui, par leur nombre, donne un effet assez époustouflant. Il est cependant assez étrange que cet évènement soit le premier des “Seinnheiser Series” car nous avons trouvé le son très faible, quoique très clair. Un détail qui nous a permis de discuter avec le monde sans trop avoir à forcer la voix :)

Auteur : Michael Chidiac

Equipement utilisé: Nikon D3s, 24-70mm, 50mm f/1.4, SB-900

Pour en savoir plus: Super8 & Tab, Citizen Montreal

Finntroll & Ensiferum @ Metropolis (Montréal)

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Pour finir en beauté ce mois du Folk Metal sur Montréal et faire suite à la performance kick-ass d’Eluveitie, le Finnish Metal Tour envahissait la salle comble du Métropolis jeudi dernier pour une soirée de débauche d’énergie à la fois sur scène et dans le mosh-pit.

Barren Earth, Rotten Sound, Ensiferum et Finntroll. Quatre formations finlandaises se sont ainsi succédées devant nos yeux le 24 février dernier avant de réduire nos oreilles et la totalité de nos muscles à l’état de chaires douloureuses. Parce que oui, même vos photographes préférés finissent par crowd-surfer et enchainer les circle-pits une fois leurs clichés en poche. Accompagnés par une horde de barbares en kilt, torses nus, peints façon Braveheart et brandissant des haches en styromousse. Courant dans tous les sens de façon désordonnée tout en brandissant fièrement leurs armes et/ou leurs poings. Brutal. Épique.

Ensiferum

L’impatience se fait sentir dans la salle, l’atmosphère devient lourde et la tension palpable. Pas difficile de constater que la plupart du mosh-pit est allié à la cause d’Ensiferum. Précédé par le guttural Melodic Death de Barren Earth et le violemment efficace Hardcore de Rotten Sound, les porteurs d’épée n’ont eu aucune difficulté à soulever les passions d’un public déjà crinqué à mort. Le Heroic Folk est dans la place et entendait bien continuer à tailler ses lettres de noblesse à grand coups de marteau de guerre pour une nouvelle soirée sous le signe du Folk Metal. Après une intro rondement menée au son de By The Dividing Stream, les premières notes de From Afar driveront les fans jusqu’aux limites de l’hystérie. Petri Lindroos aux commandes, le band ne se limitera heureusement pas par la suite à jouer des morceaux issus de leur dernier opus, préférant enchainer des compositions badass tirées d’un peu partout dans leur discographie. Deathbringer from the sky, Token of Time et l’interminablement glorieuse Victory Song ont ainsi trouvé un second souffle pour remplir une set-list qui restera mémorable bien que malheureusement trop courte. Ensiferum ne se permettra toutefois pas de quitter la scène sans jouer Iron pour un final digne de leur performance : à couper le souffle.

Finntroll

Blodmarsh et Solsagan annonçaient une entrée en matière musclée pour les Finlandais aux sonorités suédoises de Finntroll. Les dévoreurs de chrétiens nous ont ainsi offert un set assez homogène, laissant peu de repos au mosh-pit en enchainant sans discontinuer des compositions violentes et énergiques, couvrant dans les grandes lignes l’ensemble de leur discographie. Nedgang, Midnattens Widunder et Eliytres feront ainsi une apparition remarqué. Nattfödd viendra apporter quelques instants de douceurs et de répit avant l’arrivée fracassante de Jaktens Tid et, bien entendu, Trollhammaren. Le public, lui, n’était pas en reste et a même fini par montrer des moments de faiblesse avant la fin de la soirée. Complètement épuisés, la plupart des barbares en kilt avaient déjà commencé à prendre d’assaut les réserves de bières de la salle, un bel avant-gout de l’après-show joyeusement alcoolisé au Café Chaos qui s’en est suivi!

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Auteur: Paul Blondé

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 70/200mmvr2, 24/70mm

Pour en savoir plus: Finntroll, Ensiferum

Etienne de Crecy @ Belmont (Montréal)

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Cela fait une semaine et mes oreilles résonnent encore en souvenir de cette soirée passée au Belmont en compagnie du DJ francais.

Après une arrivée perplexe dans un Belmont que je découvrais pour la première fois : une petite salle sombre, un DJ derrière ses platines, une salle presque vide, des jeunes gens au bar … cependant mes inquiétudes furent de courte durée! C’est un Etienne de Crécy old school qui est apparut aux commandes du booth, oubliant les artifices, ne prenant qu’avec lui son talent et ses CDs. Un Etienne de Crécy en mode « retour aux sources » en quelque sorte. L’ambiance est incroyable, renforcée par la saveur underground de la salle et par un public jeune et prêt à tout casser. Un set-up qui nous a ramené dans les années 90, aux débuts du DJ dans les caves parisiennes.

Sauf qu’en ce jour de février du 21e siècle, de Crécy est un artiste aboutit et expérimenté qui nous a desservi un show monstrueux, ponctué de morceaux de sa composition mêlés a des tracks improbables tirés des 4 coins du monde. Ce que je retiens de cette soirée restera un show d’un artiste au sommet de son art, intime avec son public, qui nous a démontré avec brio que malgré les années, même les pères de l’electro sont toujours la pour continuer a nous faire vibrer et danser au rythme de leurs compositions endiablées.

Auteur: Julien Kauffmann

Pour en savoir plus: Étienne de Crecy

Yann Tiersen @ Metropolis (Montréal)

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Le Métropolis accueillait ce soir, dans le cadre du festival Montréal en Lumière, l’auteur-compositeur-interprète français Yann Tiersen.

Oeuvrant dans un registre classico-électrique en mélangeant astucieusement les envolées instrumentales et expérimentales avec un soupçon de punk énervé, Yann Tiersen réussit parfaitement à déstabiliser un public.

Souvent à contre-jour ou dans une pénombre violette douteuse, Yann Tiersen et ses copains semblent enfermés dans une bulle artistique que, malheureusement, les fans ne parviendront pas à percer. Dommage, car le talent de la bande est indéniable. Toutefois, ce cruel manque de partage et d’échange avec l’audience fait de cette performance instrumentale époustouflante une performance pouvant manquer légèrement de volume et de relief. La musique est puissante et il est impossible, à l’écoute, de ne pas sentir sa peau se décoller des os et les frissons voyager d’un bras à l’autre.

Il semble que ce spectacle a été conçu pour ceux qui sont capables de profiter d’envolées instrumentales sans véritablement avoir une interaction avec les artistes. On peut naturellement pardonner à Yann son attitude qui s’apparente en tout point à une grande timidité. Mais quand un public montréalais hurle «vive la Bretagne», mon petit Yann, quel intérêt à répondre en anglais?! En effet, le petit français semble être conquis par le nouveau monde, et, malheureusement, adressera la plupart de ses remerciements au public montréalais...en anglais. On notera aussi certains de ces titres dont le petit «fuck me» issu de son dernier poussin: Dust Lane. L’accent français donne à cette petite interjection pleine de poésie un charme indéniable. En attendant, il aurait été apprécié que monsieur Tiersen ose se servir un peu plus de sa langue natale face à un public qui n’en demande pas moins.

Somme toute, un spectacle de Yann Tiersen est une expérience curieuse et intéressante pour ceux qui, comme moi, n’en ont pas l’habitude. La musique y est belle, mais c’est un courant électrique qui semble un peu à sens unique.

Auteur: Lauren Gouilloud

Pour en savoir plus: Yann Tiersen

Hernan Cattaneo @ Circus Afterhours (Montréal)

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Le 19 février dernier, nous avions la chance d’accueillir la légende argentine Hernan Cattaneo pour une soirée des plus mémorables.

L’homme qui a eu la chance de jouer aux côtés de John Digweed, Sasha et Paul Oakenfold à su nous envouter grâce à sa musique entrainante. Maitre incontesté du Deep Progressive House avec sa touche personnelle de Tech House, Cattaneo n’est pas étranger à la célébrité. Ayant déjà atteint le #6 du célèbre DJ Mag Top 100, mixé des compilations pour The Masters Series et produit des hits avec les labels renommés comme Perfecto ou Bedrock … les attentes étaient grandes devant un palmarès aussi rempli!

Commençant son set sur un “play as long as you want” et enchainant les chansons comme si elles avaient été écrites par un maestro, le DJ et son public se sont laissé emporter par la musique pour un voyage mémorable! Tel est la force de Hernan Cattaneo, mixant avec une telle précision qu’il devient impossible de distinguer les transitions, transformant son set complet en une seule et même composition. Comparativement à plusieurs DJ que l’on aime pour certaines de leurs compositions, Cattaneo est ainsi capable de délivrer un set qui saura nous prendre aux tripes du début à la fin de la soirée. À tel point qu’on aurait vraiment aimé le voir rajouter du temps supplémentaire aux 5 heures qu’il a passé aux commandes du booth samedi passé. En espérant avoir la chance de le revoir le plus plus vite possible pour assister à une nouvelle nuit d’overdose musicale envoutante!

Auteur: Michael Chidiac

Equipement: Nikon D3s, 24-70mm, 50mm f/1.4, SB-900

Pour en savoir plus: Hernan Cattaneo, Citizen

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