Category: Québec

Mark Knight & D.Ramirez @ Circus Afterhours (Montréal)

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Moins de trois mois depuis sa dernière visite, Mark Knight revenait à Montréal en compagnie d’un autre ToolRoom Knight, D. Ramirez, pour une soirée à saveur de son label.

Décidément, Montréal est une destination privilégiée pour Mark Knight qui venait refaire un passage au Circus Afterhours si peu de temps après sa dernière visite. Mais en bonus cette fois-ci il amenait le concept des ToolRoom Knights avec lui : une soirée dédié au son du label ToolRoom Records qu’il a lui-même fondé. On notera que la métropole québécoise est la seule ville non-européenne (mis à part Miami) qui a eu la chance d’avoir cet honneur.

Pour commencer cette soirée, c’est avec plaisir que nous avons accueilli pour la première fois D.Ramirez, DJ et producteur de renommée internationale. Sautant constamment de droite à gauche sans arriver à tenir en place, une main constamment posée sur le mixeur et l’autre sur son contrôleur Traktor, Ramirez n’a pas eu de mal à conquérir le public rassemblé pour l’occasion. Public tellement en feu que le DJ s’est permis de commencer son set une demi-heure a l’avance, pavant progressivement le chemin vers l’entrée en scène glorieuse de Mark Knight.

Encore une fois, soutenu par l’énergie débordante de la foule, Mark Knight a décidé de continuer sa prestation pour trois heures additionnelles. Totalisant un bon cinq heures de musique. En maitre incontesté du Progressive House, il enchaine des hits et des classiques tout en incluant ses propres productions au passage. Résultat: un set construit de façon impeccable qui nous gardera en mouvement jusqu’aux petites heures du matin.

Il peut paraitre assez évident à la lecture de ce review que Mark Knight est notre DJ House préférer. Eh bien oui, et nous espérons surtout le revoir le plus tôt possible … tout en espérant une résidence !

Auteur: Michael Chidiac

Équipement utilisé: Nikon D3s, 24-70mm, 50mm f/1.4, SB-900

Pour en savoir plus: Mark Knight, D.Ramirez, ToolRoom Knights, Citizen

Paul Van Dyk @ Theatre Telus (Montréal)

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Après plus d’une année d’absence, un des plus grands performers dans l’univers de la musique électronique était de nouveau de passage par la métropole québécoise. Paul Van Dyk était ainsi l’hôte du rendez-vous à ne pas manquer vendredi dernier au Théâtre Telus!

En temps que membre de la trinité des seuls DJ’s Trance de l’histoire à avoir atteint le #1 du fameux DJMag Top 100, Paul Van Dyk est ce qu’il est convenu d’appel un pionnier. Même si de nos jours l’allemand charismatique préfère plus simplement classer ses productions sous le label de “musique électronique”, il demeure toutefois très influencé par le style qui à lancé sa carrière mondiale. Ouvrant la soirée en puissance avec W&W – Impact, Paul Van Dyk s’est arrangé pour driver l’énergie de son public au maximum à peine son set commencé, le tout en gravitant constamment autour d’un rythme de 140bpm. Mais contrairement à la tendance actuelle des productions de cette vitesse, PvD se permet de garder des basslines très mélodieuses et distinctes sans devenir trop agressives. Une autre des forces de PvD importantes à relever est sa capacité à éviter les clichés Trance en arrivant à jouer sur un nombre parfait de vocals, arrangeant aussi bien ses propres compositions comme New York City ou Home tout comme des classiques du genre tels que Perfect de Markus Schulz.

Dépourvu de breakdowns inutiles,  Paul Van Dyk nous surprend avec quelques passages de House (Hits Are For Kids par Adam K, Knas par Steve Angello ou encore On Off par Cirez D) et  de Tech-Trance (Delusory Hopes par Marc Simz) pour nous offrir un set parfaitement balancé, remixé intégralement sous nos yeux en live. Le tout réalisé à l’aide deux claviers midi connectés a deux laptops (Logic Pro vs Ableton Live), le tout synchroniser par un mixeur Allen & Heath. Mais c’est dans cette complexité que réside toute la beauté et le caractère unique d’assister à une performance de Paul Van Dyk, en témoigne le climax dans la salle lors de l’exécution de la célèbre For An Angel.

En conclusion : nous sommes contents de voir que malgré toutes ces années, Paul Van Dyk reste toujours aussi fidèle à ses racines et que sa créativité débordante n’est pas sur le point de s’estomper d’ici peu!

Photographe: Paul Blondé

Article: Michael Chidiac, Paul Blondé

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 70/200mmvr2, 24/70mm

Pour en savoir plus: Paul Van Dyk

Enrique Iglesias @ Centre Bell (Montréal)

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Le sulfureux Enrique Iglesias occupait donc les préoccupations féminines et la scène du Centre Bell ce jeudi. Malgré quelques petits problèmes occasionnant le décalage de l’évènement d’une bonne heure, une poigné moments tellement mâles qu’ils en sont devenus weird et l’évanouissement d’environ la moitié du public au cours du show … le bel étalon à réussi à produire un divertissement à hauteur de sa réputation tout en réaffirmant au passage que le légendaire charme espagnol semble toujours fonctionner à plein régime.

Auteur: Paul Blondé, photos initialement publiées dans le journal étudiant le PolyScope

Remerciements à: William Sanger

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 70/200mmvr2, 24/70mm

Pour en savoir plus: Enrique Iglesias

Goo Goo Dolls @ Olympia (Montréal)

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Le groupe Goo Goo Dolls, actuellement en tournée dans tout le Canada, a mis le feu à Montréal mercredi dernier dans un Olympia blindé de monde composé de fans de tous âges. On peut dire après cette soirée que le rock des années 80 est loin d’être mort.

Ils se sont laissé un peu désirer avant de commencer leur set sous une tonitruante entrée en matière avec la première chanson de leur dernier l’album, Something for the Rest of Us qui est : Sweetest Lie. Les deux chanteurs charismatiques John Rzeznik (guitariste) et Robby Takac (bassiste) se sont partagé le temps de chant et ont fait déchainer la foule avec leur dernier tube Home ainsi qu’avec leur musique culte : Iris. Le groupe de Buffalo, avec ses 25 ans de carrières, a su tenir les 1h20 sur le stage avec sa bonne dose de rock alternatif américain,

En bonus, le canadien Steven Page, anciennement cofondateur du groupe Barenaked Ladies, a assuré avec ses musiciens la première partie du spectacle. Il a mis l’ambiance, devant un public impatient d’attendre l’arrivée sur le stage de Goo Goo Dolls,  avec sa musique mélangeant balades bien rythmées et pointes de jazz. Steven Page a su agrémenter ses compositions de parties de trompette et d’accordéon voir même en faisant des petits clins d’œil à Danny Elfman, compositeur de la musique du film Mission Impossible.

Auteur: Antony Chardon

Équipement utilisé: D700 (Nikon), 70/200mmvr2, 24/70mm

Pour en savoir plus: Goo Goo Dolls, Steven Page

Underoath @ Metropolis (Montréal)

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Underoath, Tuesday, A Skylit Drive et Animals As Leaders ont investi la salle comble du Metropolis lundi passé afin de nous servir une bonne débauche d’énergie à grands coups de sonorités hétéroclites!

C’était donc le 14 janvier, jour de la St-Valentin, qu’un des plus notables groupes Emo/Metalcore de ces dernières années avait choisi d’effectuer sa visite annuelle dans la métropole québécoise. Attaquant leur set avec la fort sympathiquement Heavy In Regard To Myself, les américains semblaient bien décidés à défendre une fois de plus le titre d’emblèmes qui leur colle à la peau. Et c’est partit, les fans massés au pieds de la scène se mettent immédiatement à bouncer joyeusement dans tous les sens comme des pantins désarticuler. La soirée s’annonce belle! Les titres s’enchainent et la grande majorité d’en eux reçoit un accueil très positif de la part d’un public déjà conquis d’avance. On a ainsi pu entendre des compositions tirées majoritairement du dernier opus du groupe comme In Division ou encore quelques vieux succès à l’image de Writing On The Walls ou la délicieusement Post-Rock Desolate Earth: The End Is Here. De son côté, le charismatique Spencer Chamberlain s’est affiché comme une leader en plein forme sans toutefois voler la vedette aux autres membres du band.

Mais mes deux plus grosses découvertes personnelles de la soirée résidaient avec les performances lives de Animals As Leaders et A Skylit Drive. Ces deux bands aux techniques et sonorités complètement opposées (Progressive Metal vs Post-Hardcore) qui ont pourtant réussi à se succéder parfaitement sur le stage tout en gardant un public aussi excité qu’heureux. En plus de cet article aurait du venir la vidéo d’une entrevue avec le fameux et talentueux Tosin Abasi (Animals As Leaders), une rencontre planifiée qui n’a finalement pas eu lieu pour des raisons qui resteront malheureusement inconnues … même pour nous. Mais malgré ce petit détail nous garderons le souvenir d’une soirée vraiment kick-ass, aussi riche en découvertes musicales qu’en énergie dépensée dans le mosh-pit!

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Auteur: Paul Blondé

Photographes: Paul Blondé, Alex Luca

Équipement utilisé: D3s (Nikon), D700, 70/200mmvr2, 24/70mm, 17/35mm

Pour en savoir plus: Underoath, Tuesday, Skylit Drive, Animals as Leaders

Escape the Fate & Alesana @ Club Soda (Montréal)

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Escape the Fate et Alesana se partageaient la scène du Club Soda, complètement sold-out pour l’occasion. C’était malheureusement sans compter sur la présence initialement annoncée des excellents Drive A et Motionless in White, absence justifiée par les fortes chutes de neige des derniers jours et quelques problèmes de visa

Mais il en faillait bien plus que ça pour diminuer notre enthousiasme. Nous voilà donc partie pour le premier show à saveur Punk de ce début d’année 2011. Pour être vraiment exacte, c’était une vague de Metalcore, Post-Hardcore et Emo-Punk made in US qui s’apprêtait à nous tomber sur le coin de la gueule sans prévenir. Le bal était ainsi ouvert par les petits gars énergétiques de Get Scared. Une première partie efficace et riche en headbaging au cours de laquelle Craig Mabbitt (Escape The Fate) s’est permis de s’inviter sur le stage le temps de 2-3 morceaux histoire de mesurer la température de la salle.

Puis c’est le tour d’Alesana de rentrer en scène. Le band, tout de costume-cravate vêtu, enchaine rapidement et frénétiquement la majorité du contenu de son dernier album (The Emptiness) avec des compos solides comme The Murderer, Curse of the Virgin Canvas et Annabel. On regrettera l’absence notable des titres qui ont fait le succès du groupe, un manque largement compensé scéniquement par les frasques de Dennis Lee qui s’est offert un bain de foule et un streep-tease quasi intégrale au cours du show. La tension à peine retombée, c’est au tour des stars de la soirée de prendre le contrôle de la salle. Le charisme d’Escape the Fate est sans appel, dominant largement son public pour le driver jusqu’à l’hystérie. La recette est simple: prenez une set-list composée quasi-uniquement de compositions à succès (Situations, You Are So Beautiful, The Flood), ajoutez un band énergique et un chanteur à moitié timbré qui se jette depuis le balcon (5 mètres de haut) directement dans le mosh-pit à peine le concert commencé, agitez … et vous obtenez ce qui restera une des meilleures prestations de cette première partie de l’année 2011!

Auteur: Paul Blondé

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 70/200mmvr2, 24/70mm

Pour en savoir plus: Escape the Fate, Alesana, Get Scared

Benny Benassi & Richard Durand @ Circus Afterhours (Montréal)

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Après un bon six mois d’absence, Benny Benassi et Richard Durand revenaient nous visiter pour une prestation de 2h30 chacun au Circus Afterhours.

Benny Benassi, l’Homme, la légende, celui qui à pratiquement à lui seul inventé un nouveau son il y maintenant presque 10 ans avec Satisfaction, était de retour au Main Room du Circus. Comme ouverture, nous avons eu le droit à son opener personnel, qui n’a pas perdu de temps à pomper du gros son à faire vibrer les murs. Benassi à continué sur la même lancée, allant de plus en plus fort jusqu’à terminer sur son plus gros classique, bien évidemment Satisfation, dans le remix à la Dirty Dutch d’Afrojack.

Dans l’autre salle, nous avons pu assister à la performance de l’homme qui a été choisi pour remplacer Tiesto dans la série In Search of Sunrise, et j’ai nommé Richard Durand. Ce dernier étant venu à Montréal dans le cadre de sa tournée ISOS, nous avons été étonnés de l’entendre jouer son ancien répertoire au lieu du son plus calme et mélodique associé à ISOS. Durand est l’un des DJ Trance les plus techniquement talentueux, allant même jusqu’à scratché sur du Trance sans que l’on s’en remarque. Très souriant (vous l’avez surement remarqué dans les photos), il réussit à maintenir un contact avec une foule conquise et en délire. Nous tenons également à mentionner la très bonne performance de John Pressure qui à su garder une salle incroyablement remplie jusqu’à 9h30 (heure à laquelle nous sommes partie).

Soirée très remplie donc. Les fans étaient déjà rassemblé à l’entrée à 2am (heure d’ouverture du Circus) à attendre dans le froid pour entendre leur DJs favoris. À 2h30, la file faisaient le tour du coin et remontait jusqu’à Maisonneuve, du jamais vu! Bref, pas besoin de mentionner que la soirée fut endiablé grâce à d’excellentes performances de la part des performers et d’un publique en feu!

Auteur: Michael Chidiac

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 24/70mm, 50mm f/1.4

Pour en savoir plus: Benny Benassi, Richard Durand, Citizen

Linkin Park @ Centre Bell (Montréal)

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Linkin Park, groupe californien phare des adolescents des années 2000, a su renouvelé son registre au fil des albums et s’adapter au public de plus en plus nombreux. Le 7 février  dernier, les 6 membres de la formation ont donné rendez-vous aux fans montréalais pour une performance des plus électrisantes auCentre Bell.

Avec les concerts de Does it Offend you yeah ? et de Pendulum, le sextuor rendu célèbre par ses albums Hybrid Theory et Meteora déploya un savant mélange des différentes époques du groupe, allant puiser dans les racines plus nu-métal de leurs premiers albums, jusqu’au côté rock vers lequel le groupe s’orienta à travers ses derniers opus Minutes to Midnight et A Thousands Suns.

Le groupe démontre une certaine maturité, associée à une forte stabilité entre les membres. En effet, les projets personnels des diverses personnalités de Linkin Park permettent d’ajouter du mordant à leurs musiques, avec entre autre les performances de Mike Shinoda avec le groupe Fort Minor. Tandis que certains auraient pu reprocher à LP de devenir un groupe de plus en plus commercial à cause de leur participation aux trames sonores des films à grand succès Transformers et du virage [vers le](enlever vers le) rock des dernières années, la performance offerte par les Californiens a ravivé les souvenirs des premiers fans jusqu’à faire taire leurs détracteurs.

Chapeau à LP, qui a su enchaîner leurs différents albums au cours de la soirée, offrant une des soirées mémorables du Centre Bell !

Article: William Sanger

Photographe: Michael Chidiac

Équipement utilisé: D3s (Nikon), D7000, 70/200mmvr2, 24/70mm

Pour en savoir plus: Linkin Park

Eluveitie @ Le National (Montréal)

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Oh yeah, le mois du Pagan Metal est arrivé! Cette année encore le monde de Brave Concert nous gâte en invitant ce qui ce fait de mieux dans le domaine du Folk/Death Celtic. Et ça commençait ce samedi avec les Suisses d’Eluveitie qui ont envahi Le National le temps d’une soirée de débauche d’énergie et de guturalités aux sonorités tribales.

Nous voilà donc de retour dans la petite salle complètement sold-out du National, ancien théâtre croulant rempli de poussière et reconverti en salle de concert. Une place possédant de nombreux défauts qui en font autant de qualités. Notamment son plancher en pente et sa mauvaise acoustique qui deviennent rapidement des atouts quand vient le temps de ramener toute le public le plus proche possible de la scène, aux pieds du band, dans le mosh-pit … là où les corps s’entassent et l’action se passe. Bref, la salle parfaite pour combler nos désirs de crowd-surf et autres brutalités gratuites!

Holy Grail

Après un rapide passage sur scène aussi sulfureux que propre au headbanging de la part du Melodic Death Metal de System Divide, c’était au tour des Californiens de Holy Grail de prendre place aux commandes de nos émotions. Après les avoirs vus successivement en première partie d’Amon Amarth et Blind Guardian au cours de l’année passée, j’avais vraiment hâte d’assister à un nouveau déchainement de leur fureur Heavy Metal. Les montées de voix de James Luna dans les aiguës sont toujours aussi puissantes, à tel point que je pourrais aller jusqu’à le comparer avec un manque d’objectivité total au maître Rob Halford (Judas Priest). La température monte rapidement dans la salle et l’air devient bientôt presque irrespirable. Le concert est à peine commencé et l’ambiance est déjà à son comble. Tout cela sans compter sur la surprise du jour : 3 Inches of Blood.

3 Inches of Blood

Et ouaich! Après plusieurs déboires sur la route, 3 Inches of Blood avait finalement réussi à rejoindre la tournée Nord-Américaine d’Eluveitie. À notre plus grande surprise et joie. Et là je dois avouer ma totale ignorance sur ce groupe que je découvrais cette soirée-là, ça torche! Du Heavy bien gras comme du bacon canadien frit à la poêle. Mon expérience en deux mots: Deadly Sinners! La voix de Cam Pipes est vraiment impressionnante et malgré quelques petits problèmes d’éclairages qu’on aura vite fait d’oublier, leur set s’est révélé impeccable et vraiment efficace. Le tout pour mieux ouvrir la voie aux stars de la soirée …

Eluveitie

Si toi aussi tu te laisses pousser les cheveux de façon incontrôlable et tu sens que tes vêtements de peau d’ours prennent la poussière, le moment était venu de briller dans le mosh-pit. Le Folk Metal d’Eluveitie était là pour raviver nos pulsions ancestrales au son des flutes, d’une vielle à roue (Hurdy gurdy) et un bon nombre d’autres instruments celtiques traditionnels. Parce que oui, la bande à Chrigel Glanzmann a ses racines résolument dans la culture bretonne et ils le célébraient devant un public gonflé à bloc par les prestations des groupes précédents. Il faudra peu de temps avant d’entendre les douces mélodies de Your Gaulish War, Bloostained Ground et surtout la motherfuckin’ badass Gray Sublime Archon. Mais celle que tout le monde attend suivra juste après. Inis Mona, version Metal de la célèbre balade Bretonne Tri martolod, résonne encore à l’heure actuelle à mes oreilles d’expatrié, le Gwen Ha Du accroché sur mon mur en dit déjà long. Le show s’achèvera après presque une vingtaine de compositions, au terme d’un rappel aussi agréable qu’épuisant dans la fureur du parterre.

Il nous restait alors juste assez de force pour braver la tempête et passer la fin de la nuit au Café Chaos en compagnie de la plupart des groupes présents cette soirée-là.

Auteur: Paul Blondé

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 70/200mmvr2, 24/70mm

Pour en savoir plus: Eluveitie, 3 Inches Of Blood, Holy Grail, System Divide

http://www.youtube.com/watch?v=iijKLHCQw5o

Joshua Radin @ La Tulipe (Montréal)

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Thorium Photography était de sortie à La Tulipe dimanche dernier pour assister à la représentation  Folk Acoustique suave du talentueux Joshua Radin. Après nous avoir étalé lyriquement ses peines de coeur sur 3 albums (First Between 3rd and 4th, We Were Here, Simple Times) , le jeune prodige du Middle West revenait à la charge fin 2010 avec un album à saveur résolument plus pop: The Rock and the Tide. Revendiqué d’inspiré Bob Dylanienne, ce nouvel opus, dont nous avons pu entendre plusieurs extraits au cours de la soirée, comporte également une bonne dose de John Mayer, Jack Johnson et Damien Rice rassemblés pour le plus grand plaisir de nos oreilles.

Avec Andrew Allen et Anya Marina en guise de mise en bouche, Joshua Radin à réussi à produire une performance à la fois rafraichissante et pleine d’énergie. Alliant à son charisme naturel une très bonne communication avec son public et un éclairage scénique du feu de dieu. Le chanteur a ainsi traversé tout son répertoire musical au cours de la soirée, introduisant chacune de ses compositions par l’histoire de sa création. Dessinant au fur et à mesure tout le récit mouvementé de sa carrière musicale. Enchainant les pistes qui ont fait sa renommée comme Everything’ll Be Alright, Closer, Today ou encore Closer. Le tout en gardant Winter pour le rappel en guise d’au revoir vers les grands froids et la tempête de neige Québécoise. Bref, Un de ces shows qui restera gravé dans les mémoires!

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Auteur: Paul Blondé

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 80/200mm, 24/70mm

Pour en savoir plus: Joshua Radin, Anya Marina, Andrew Allen

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