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Joshua Radin @ La Tulipe (Montréal)

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Thorium Photography était de sortie à La Tulipe dimanche dernier pour assister à la représentation  Folk Acoustique suave du talentueux Joshua Radin. Après nous avoir étalé lyriquement ses peines de coeur sur 3 albums (First Between 3rd and 4th, We Were Here, Simple Times) , le jeune prodige du Middle West revenait à la charge fin 2010 avec un album à saveur résolument plus pop: The Rock and the Tide. Revendiqué d’inspiré Bob Dylanienne, ce nouvel opus, dont nous avons pu entendre plusieurs extraits au cours de la soirée, comporte également une bonne dose de John Mayer, Jack Johnson et Damien Rice rassemblés pour le plus grand plaisir de nos oreilles.

Avec Andrew Allen et Anya Marina en guise de mise en bouche, Joshua Radin à réussi à produire une performance à la fois rafraichissante et pleine d’énergie. Alliant à son charisme naturel une très bonne communication avec son public et un éclairage scénique du feu de dieu. Le chanteur a ainsi traversé tout son répertoire musical au cours de la soirée, introduisant chacune de ses compositions par l’histoire de sa création. Dessinant au fur et à mesure tout le récit mouvementé de sa carrière musicale. Enchainant les pistes qui ont fait sa renommée comme Everything’ll Be Alright, Closer, Today ou encore Closer. Le tout en gardant Winter pour le rappel en guise d’au revoir vers les grands froids et la tempête de neige Québécoise. Bref, Un de ces shows qui restera gravé dans les mémoires!

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Auteur: Paul Blondé

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 80/200mm, 24/70mm

Pour en savoir plus: Joshua Radin, Anya Marina, Andrew Allen

Martin Sexton @ Petit Campus (Montréal)

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Le choupinet rigolard new-yorkais aux mille voix – et autant de styles musicaux – était à l’honneur ce jeudi 20 janvier au Petit Campus. Martin Sexton, en pleine forme et avec montréal comme première date de sa tournée nord-américaine, venait nous livrer joyeusement le contenu de son dernier album, Sugarcoating. Au programme de cette soirée délectable: ambiance lounge, une bonne dose de charisme et une pluie d’improvisation. On en retiendra notamment les versions acoustiques (accompagnées façon gospel par le public) des excellentes Diner et Black Sheep.

De son côté, Joanna Mosca a assuré une première partie agréable et efficace aux sonorités Bluegrass suaves.

Auteur: Paul Blondé

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 70/200mmvr2

Pour en savoir plus: Martin Sexton, Joanna Mosca

Finger Eleven @ Théâtre Corona (Montréal)

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Le Life Turns Electric Tour de Finger Eleven était de passage à Montréal ce mardi 18 janvier pour nous délivrer une bonne dose de son rock alternatif à la sauce canadienne. Avec un sixième album au compteur à peine vieux de quelques mois, le quintette de Burlington était bien décidé, une fois de plus, à nous offrir une belle expérience autant scénique que musicale.

Précédé sur le stage par The Envy, la bande à Scott Anderson à commencé la soirée sur une piste directement issue de leur dernier album, Any Moment Now, enchainant ensuite une set-list extensive couvrant la grande majorité de leur répertoire. Le public montréalais, lui, est bien réveillé.  Quelques headbanger sont éparpillés dans la salle, mais ça restera malgré tout très gentillet jusqu’à l’arrivée de l’orgasmique One Thing. À partir de là c’est l’apothéose et la foule de met à bouncer joyeusement dans tous les sens, le tout à l’image du band complètement déjanté sur la scène depuis déjà une bonne demi-heure. Se sont ensuite enchainé avec rage des titres plus punchy comme Drag You Down et Good Times. Le climax de la soirée devra attendra le rappel avec, enfin, la très attendue Paralyzer histoire de conclure le show en beauté.

En conclusion: une très belle performance et on attend leur retour de pieds ferme!

Auteur: Paul Blondé

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 70/200mmvr2, 28/70mm

Pour en savoir plus: Finger Eleven, The Envy

Bloody Beetroots @ Metropolis (Montréal)

Les italiens électro-punk de Bloody Beetroots étaient de passage en ville ce vendredi histoire de réveiller nos pulsions à bouncer comme des malades sur des riffs de Hard Rock jusqu’à faire exploser au passage le toit du Metropolis. Une soirée haute en couleurs dont on retiendra notamment la courte – mais efficace – performance des gars de Le Matos et la version live de leur Quiet Earth toujours aussi jouissive que légendaire. De leur côté, les Betteraves Sanglantes ont su nous délivrer une performance ultra-énergique de leur cru sans pouvoir s’empêcher de faire passer l’ultra-mainstream WARP entouré de plusieurs mix incluant du Daft Punk et une poignée d’autres surprises. En résumé: un bilan de soirée très positif pour un show presque sold-out.

Bloody Beetroots @ Montreal

Auteur: Paul Blondé

Photographes: Paul Blondé, Julien Kauffmann, Nicolas Kudeljan

Vidéo:

The Bloody Beetroots @ Metropolis from Julien Kauffmann on Vimeo.

Équipement utilisé: D3s (Nikon), 70/200mmvr2, 13/35mm, 60D (Canon), 5D (Canon)

Pour en savoir plus: Bloody Beetroots, Le Matos, Cheryl Cola, Produkt

Stars & Young Galaxy @ Metropolis (Montréal)

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Astronomy Domine : Stars et Young Galaxy, ensemble, sur le même stage, dans leur ville d’adoption. Un évènement haut eu couleurs et en sonorités transcendantales Dream Pop. Une performance double réjouissante avec les deux bands au sommet de leur forme. Mon seul regret personnel : l’absence cruelle de titres issu de l’album éponyme de Young Galaxy, dont la magistrale Embers. Mais tant pis car les montréalais ont déjà annoncé leur retour pour l’année prochain … le rendez-vous est déjà pris!

Auteur: Paul Blondé

Matériel utilisé: D3s (Nikon), 24/70mm, 70/200mmvr2

Pour en savoir plus : Stars, Young Galaxy

Stars & Young Galaxy

Blind Guardian @ Metropolis (Montréal)

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Blind Guardian à Montréal c’est un peu comme si le père Noël décidait de nous offrir une double tranche de cadeaux en avance. Précédés sur scène par Seven Kingdom et l’excellent Holy Grail, les allemands ont su aller chercher l’émotion jusqu’au plus profond de nos tripes pour notre plus grand bonheur du public  rassemblé et leur plus grande gloire, le tout en nous offrant un show qui se classe définitivement dans mon top 5 personnel.

De son bord, Holy Grail était de passage par Montréal pour la 3e fois cette année. Avec un  tout premier album vieux d’à peine un mois (Crisis in Utopia), les californiens ont su nous démontrer une fois de plus l’étendue de leur énergie contagieuse, alliant la qualité de leur composition avec leur charisme naturel et particulièrement badass. De leur set on retiendra notamment l’apparition des désormais classiques My Last Attack, Fight to kill et, pour rester dans le ton de la soirée, Call of Valhalla.

C’est ensuite au tour des gardiens aveugles d’envahir le stage au son de l’intro de Sacred Worlds. Le public est déjà en feu avant même que les lumières ne s’allument. Et puis c’est l’explosion. Même Hansi Kürsch semble surpris de l’intensité de la réaction mais reste maître de la foule en enchainant quelques mots en français et attaquant la suite du set avec Welcome to Dying, Mouring Hall et le climactique Nightfall. À partir de ce moment l’apogée du show semble s’étirer à l’infini, jusqu’au fin fond du rappel où la témérité des Montréalais à scander le nom du Valhalla force le groupe à ajouter à l’hystérie générale un glorieux Majesty initialement absent de la set-list. “Another City is waiting but we obviously cannot leave without one spectacular song” sera le dernier échange de Blind Guardian avec ses fans avant de clore la soirée sur un Mirror Mirror des plus épiques.

C’est la voix brisée et le cœur légé que les fans de Blind Guardian rentreront chez eux cette soirée-là. Merci encore à nos amis de Brave Concert pour l’accès média!

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Auteur: Paul Blondé

Matériel utilisé: D3s (Nikon), 28/70mm, 70/200mmvr2

Pour en savoir plus : Blind Guardian, Holy Grail, Seven Kingdom

BMTH & ABR @ Metropolis (Montréal)

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Bring Me The Horizon et August Burns Red à Montréal sur le même stage, que demander de mieux pour réchauffer nos cœurs à grands coups de Metalcore à l’approche des fêtes de noël?

Démarrant leur set au son d’un beat techno des plus douteux (et rafraichissant), ABR a vite reprit les commandes de son public dansant à l’aide d’une très jouissivement violente Composure. Le tout dans le plus pur style dans-ta-face. Le professionnalisme des petits  gars de pennsylvanie est évident et transpire à travers leur précision technique,  leur charisme et la solidité de leurs compos. Enchainant sans discontinuité des petits bijoux comme Thirty and Seven, The Escape Artist et Marianas Trench. De son côté, BMTH a bien joué son rôle de nouveau pilier de la jeune scène Modern Metal américaine. “Every second, every hour, every day, it never ends! It never ends!”, le public est là pour tout détruire et l’énergie du band se révèle être communicative à souhait, efficacité garantie dans le mosh-pit. “Party ‘til you pass out, drink ‘til you’re dead!”, Oli Sykes garde le contact avec ses fans et se permet même un petit duo avec la cannadienne Lights sur Don’t Go.

En résumé : on gardera un très bon souvenir de cette soirée malgré la trop courte présence scénique de Bring Me The Horizon (40 min). Merci encore à nos amis d’Evenko pour l’accès média.

Auteur: Paul Blondé

Matériel utilisé: D3s (Nikon), 28/70mm, 70/200mmvr2

Pour en savoir plus : Bring Me The Horizon, August Burns Red

Bedouin Soundclash @ Metropolis (Montréal)

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Le Metropolis accueillait ce samedi les Oxymorons de Charlie Winston et les canadiens de Bedouin Soundclash. En guise d’introduction, le célèbre britanique a réussi à délivrer une première partie énergique à laquelle son public, venu en masse pour l’occasion, a répondu plus que positivement. C’était ensuite au tour des trois gars de Bedouin Soundclash d’entrer en scène au son de Gyasi Went Home, Mountain Top et plusieurs autres titres directement issus de leur tout dernier opus (Lights the Horizon). Un pari risqué pour la bande a Jay Malinowski qui n’a pas vraiment eu l’effet dopant recherché pour le début de ce set.

Cette mise en bouche achevée, il était grand temps d’attaquer les choses sérieuses à grands coups de succès mainstream incluant notamment les excellentes St. Andrews, Walls Falls Down et Higher Ground. En bref, un joyeux melting-pot no-brainer toujours aussi efficace des albums Street Gospels et Sounding a Mosaic. Le tout avec quelques invités-surprises de marque comme Béatrice Martin (Coeur de Pirate) pour un duo sur Brutal Hearts et Vernon Maytone pour Money Worries. Le Metropolis comble, conquis d’avance, danse et reprend en coeur tous les refrains. Après une bonne heure et demie de performance et un publique enfin crinqué à fond,  le show s’est conclu sur un mashup de Stand by Me (Ben E. King) et When the Night Feels My Song qui a vu revenir sur le stage tous les invités de la soirée ainsi que les membres de Charlie Winston.

Dans l’ensemble Bedouin Soundclash à réussi à offrir un show entrainant malgré un début un peu timide. On restera sur notre faim tellement l’ambiance de fin de soirée était excellente!

Merci encore à nos amis d’Evenko pour l’accès média!

Auteur: Paul Blondé

Matériel utilisé: D3s (Nikon), 24/70mm, 80/200mm

Pour en savoir plus: Bedouin Soundclash, Charlie Winston

Bonobo @ Le National (Montréal)

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La joyeuse bande à Simon Green a envahi le National hier soir pour le plus grand plaisir de la foule de hipsters massivement rassemblés pour l’occasion. Bien qu’avant tout performeur électronique de talent, Simon est également un chef d’orchestre multi-instumentiste, ce qu’il nous a démontré une fois de plus  avec brio. Accompagné sur scène par une pléiade d’artistes et d’instruments (chant, guitare,batterie, saxo, clarinette, flute traversière, keybord, piano), le britanique à su nous immerger dans sa musique expérimentale d’ambiance pendant les deux heures de son set.

Auteur: Paul Blondé

Matériel utilisé: D3s (Nikon), 70/200mmvr2

Pour en savoir plus : Bonobo, Thunderball

Atreyu & BlessTheFall @ Metropolis (Montréal)

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BlessTheFall et Atreyu étaient de passage par Montréal mercredi passé pour nous servir une bonne dose de Metalcore survolté à la sauce californienne. Le tout à l’occasion du Congregation of the Damned Tour. De côté d’Atreyu on a pu sentir la confiance d’un band qui vient tout juste de sortir de son 5e opus avec des compos particulièrement efficaces comme Bleeding is a Luxury, Stop! et  Gallows. Au cours du show, une bienheureuse attention particulière sera portée sur Lead Sails Paper Anchor histoire de mettre tout le monde d’accord. La formule est connue, efficace, mais un peu passé date. Le public crie, se pousse et demeure désespérément en reste. De son bord et malgré son rôle de première partie, BlessTheFall maitrise totalement la foule d’une façon agréablement surprenante. Enchainant des titres mainstream comme Rise Up et To Hell and Back. On retiendra notamment de leur performance la marée de crowdsurf et le charisme de Beau Bokan (vocals) qui a réussi à driver ses fans jusqu’à un stade proche de l’hystérie.

Un grand merci à nos amis Punk-Friendly de Fearless Records pour nous avoir fournir les accès média à ce show kick-ass mémorable!

Auteur: Paul Blondé

Matériel: D3s (Nikon), 24/70mm

Pour en savoir plus: Atreyu, BlessTheFall, Chiodos

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