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Hellfest 2023 – J1 : Kiss + Architects + In Flames + Behemoth + Parkway Drive et autres @Clisson

Beaucoup de nouveautés cette année sont à noter. Tout d’abord, un magnifique bâtiment, The Sanctuary, abritant le merch officiel. Bon par contre, côté file d’attente, c’est encore pire qu’avant. Je passe mon tour, on est là pour voir des concerts, mince! Le site a été agrandi avec la nouvelle Valley en plein air, située en face . L’endroit n’est pas mal du tout mais sera sans doute arrangée à l’avenir dans sa disposition. Sinon, pas grand chose à redire, l’orga et les bénévoles sont au top, comme d’habitude. Et le temps est chaud mais sans excès, contrairement à l’an dernier.
 

Code Orange (16:30-17:10 // MainStage 2 )

La journée du Jeudi est raccourcie comme l’an dernier et les concerts commencent à 16h. C’est donc Code Orange qui a la lourde charge d’ouvrir les hostilités sur les Mainstages. Voici la valeur montante de cette nouvelle génération de punk hardcore et ces petits jeunes (qui comptent quand même 10 ans de carrière déjà) nous viennent de Pittsburg aux USA. Et on est surpris d’entrée de jeu par la variété des morceaux proposées, leur hardcore lorgant également vers l’indus ou le Post Grunge par moment. Le chanteur Jami Morgan électrise déjà le public qui commence déjà pogos et walls of death. Sa comparse Reba Meyers n’est pas en reste à la guitare et au chant très varié. Gros bémol toutefois: le son n’est pas au top (heureusement, ce sera sans doute une des seules fois pour ma part durant ce week-end). Reste que des brûlots comme “It Fear” ou “Out for Blood” ont l’effet escompté. Le public est déjà en feu, ce qui est plutôt une excellente nouvelle quand on sait que de plus en plus de reproches sont lancés sur l’absence d’ambiance devant les deux grosses scènes principales. Une bonne entrée en matière. 


Aephanemer (17:15-17:55 // Altar)

Direction Altar pour soutenir notre cher représentant toulousain pour cette édition avec Aephanemer. Cet excellent groupe de Death Mélodique fait de plus en plus parler de lui, surtout à l’étranger. Il faut dire que ce style qui rappelle les plus grandes heures d’Arch Enemy et Children of Bodom a tout pour plaire. Juste une petite frayeur à quelques semaines du show: leur bassiste Lucie a dû quitter le groupe (provisoirement?) pour des raisons personnelles. Pas de quoi décourager la formation du Sud de la France puisque une nouvelle venue, Laure, va faire ses grands débuts ce jour. Un petit peu de pression sans doute sur ses épaules. D’autant plus que l’Altar est bien remplie pour cette prestation à la grande joie des musiciens qui arrivent tout sourire sur scène. La partie est déjà gagnée et rien ne viendra troubler l’excellente ambiance dans le public. Le son est excellent et d’ailleurs, on notera la très bonne acoustique des tentes Temple/Altar tout au long du weekend. Bien entendu, le duo Marion au chant et Martin à la guitare fait des merveilles.  Les titres sont accrocheurs et font mouche à chaque fois (“The Sovereign”,” Back Again” et bien sûr le titre très attendu à présent en langue française “Le radeau de la Méduse”). Le contrat est donc plus que rempli pour les Toulousains qui quittent la scène sous les vivas de la salle. 


Imperial Triumphant(18:00-18:45 // Temple )


Nightfall (18:45-19:35 // Altar )

Très belle rareté ensuite, toujours sous l’Altar, avec les Grecs de Nightfall. Ils font partie de cette scène extrême hellénique très présente avec des formations prestigieuses comme Rotting Christ ou Septic Flesh. Ils font dans le death mélodique mais avec la lourdeur du doom et la mélancolie gothique très présente durant cette période. C’est à coup sûr à ne pas manquer. Et tout de suite on est plongé dans un univers sombre porté par l’imposant vétéran du groupe Efthimis Karadimas au chant, encapuchonné et masqué. Le groupe puise beaucoup dans le très bon dernier opus, le très agressif “Darkness Forever” mais sait aussi reprendre pour les connaisseurs des titres plus anciens des années 90 comme ‘Ishtar” ou “Lesbian Show”. Là aussi le son est puissant et massif et on se laisse facilement transporter dans l’ univers sombre et violent du groupe grec. Bravo aux programmateurs du Hellfest de toujours rechercher des perles rares comme celle-ci. 


Generation Sex (18:45-19:35 // MainStage 1 )


Poésie Zéro (18:45-19:35 // WarZone)


In Flames (19:40-20:30 // MainStage 2 )


Harakiri for the Sky (19:40-20:40 // Temple )


Hollywood Vampires (20:35-21:45 // MainStage 1 )

 


Candlemass (20:45-21:45 // Altar

C’est toujours un grand moment à chaque fois qu’ils passent. Candlemass , fait “tente” comble. De plus, pour rappel, le groupe pionnier du doom a réintégré son tout premier chanteur Johan Lanqvist depuis 5 ans. Certains regretteront le charisme de Matts Leven mais l’ancien n’a rien perdu de sa voix et de son charisme. Le son est encore une fois très bon et là aussi, on part facilement dans les contrées sombres et mélancoliques de l’univers du groupe. Pas vraiment de surprise côté setlist: seul un seul titre récent , “Sweet Evil Sun” est interprété ce soir. Le reste nous ramène dans les années 80 avec les trois albums phare du groupe “Epicus Dominicus Metallicus”, “Nightfall” et “Ancient Dreams”. Mais comment résister au charme de titres comme le très Heavy “The Wells of Souls”, cette montée en puissance sur “A Sorcerer’s Pledge” (quel titre révolutionnaire à l’époque!) en attendant bien sûr le grand tube du groupe “Solitude”. Encore une fois , Candlemass signe un des moments forts de cette journée, voire de cette édition. Une valeur sûre. 


Architects (21:50-22:50 // MainStage 2

 


Dark Funeral (21:50-22:50 // Temple)


Kiss (22:55-00:55 // MainStage 1

Et c’est déjà l’heure de la première tête d’affiche de la soirée. D’entrée, on a droit à un gigantesque show avec KissJe ne vais pas trop m’attarder dessus. Je ne suis resté que la première demi-heure. Mais attention, ce n’est pas du tout parce que j’ai trouvé ça nul, loin de là. J’avais simplement d’autres priorités ailleurs. Rien que l’entrée du groupe sur scène sur “Detroit Rock City” est absolument remarquable . Pour le reste c’est un gigantesque “Circus Show” avec tout ce qu’on peut trouver en termes de lights et de pyrotechnie. Là dessus , rien à dire. Pour le côté musical, je reste toujours un peu partagé. Gene Simmons reste une bête de scène et un chanteur d’exception (n’oublions pas qu’il a plus de 70 ans!). Mais Paul Stanley m’énerve toujours autant. Quoique ce soir, il est plutôt très en voix. Ce sont ses interminables échanges avec le public qui me gavent le plus. Mais bon, pour en avoir discuté avec des fans de la première heure, c’est son jeu de scène depuis toujours et ça représente une époque alors passons. Malgré tout, je passe un bon moment sur d’excellents titres comme “War Machine”  (tiré de l’album “Creatures of the Night”, mon préféré du groupe) et “I Love it Loud”, imparable encore aujourd’hui. En théorie, c’est la dernière fois que l’on verra les Américains sur scène avant leur concert final en fin d’année. Malgré les critiques, le groupe va sortir par la grande porte et une page du rock mondial va se tourner irrémédiablement. 

 


Hypocrisy (22:55-23:55 // Altar 


Behemoth (00:00-01:00 // Temple

Une autre tête d’affiche m’attend en effet sous la Temple. Et, premier constat, la tente paraît bien trop petite pour accueillir la foule qui se presse pour assister au show diabolique de Behemoth , toujours très attendu. Contrairement à beaucoup d’autres groupes, les Polonais soignent particulièrement le visuel scénique et n’hésitent pas à se renouveler. Rien que l’intro, en ombres chinoises, est une réussite. Le premier titre, le violent “Ora Pro Nobis Lucifer” met d’entrée tout le monde d’accord avec ce son surpuissant qui met la Temple à genoux d’entrée. la bande à Nergal va mettre beaucoup en avant des titres de son dernier opus “Opus Contra Naturam” et passent très bien l’épreuve du live (comme l’excellent “Once Upon A Pale Horse”). Mais c’est très bien d’avoir aussi des titres anciens comme les trop rares “Conquer All” ou “Daimonos” qui vont ravir les fans de la première heure. Et pour le reste, quelques bons classiques ne font pas de mal comme “Blow Your Trumpets Gabriel””. Et c’est avec le calme et étonnant “Bartzabel” que le groupe se retire de scène. Encore une fois, le contrat est plus que rempli pour Nergal et son équipe qui n’hésitent pas à renouveler leur setlist et à prendre des risques en passant à la trappe quelques incontournables. Mais vu le nombre d’excellents titres qu’ils ont en poche, ils auraient tord de s’en priver et leur carrière ferait du surplace. C’est lon d’être le cas et Behemoth aura sans doute encore beaucoup de belles choses à montrer à l’avenir. 

Parkway Drive (01:00-02:10 // MainStage 2

 

Pour finir en beauté la soirée et histoire de changer radicalement de style, allons voir ce que donne Parkway Drive . Beaucoup disent que la relève des dinosaures du hard rock /metal des années 70-80 se trouve dans cette scène metalcore mélodique qui marche beaucoup outre Atlantique en particulier. Malgré l’heure tardive, la foule est encore dense devant la Mainstage 2. Et le public est en furie devant le premier titre “Glitch”. C’est une ambiance qui fait plaisir à voir. D’ailleurs, le sympathique frontman Winston McCall a l’air très ému de voir cette foule nombreuse et déchainée. Il faut dire qu’en matière de show, on est encore bien servi par les jeux de lumière et les flammes. Et l’ambiance monte encore d’un cran quand Winston n’hésite pas à aller chanter dans la fosse et à revenir en slammant . Un des moments forts du show. Il y aura même un petit côté symphonique avec la présence de trois charmantes violonistes/Violoncellistes. Juste un bémol, la ballade “Darker Still” fait un peu mal à mes oreilles habituées à la scène plus extrême. Mais l’ambiance remonte vite avec les deux titres finaux “Crushed” et “Wild Eyes” repris en chœur par la foule, toujours en transe. Certains ronchons regrettent le côté un peu trop commercial et radiophonique du Parkway Drive mais il est indéniable que les Australiens sortent vainqueurs de la journée sur les grandes scènes avec leur show parfait.  
 

 


FishBone (01:05-02:05 // Warzone)

 


Katatonia (01:05-02:05 // Altar )

 

Photographes : Fanny Dudognon et David Vacher

Auteur : Etienne Conan

Cannibal Corpse + Dark Funeral @ MTELUS (Montréal)

La brutalité sous toutes ses formes était à l’honneur samedi soir alors que les groupes Cannibal Corpse et Dark Funeral s’arrêtaient au MTELUS pour une soirée des plus violentes. Pour agrémenter ce lineup dévastateur, les formations Immolation et Black Anvil assuraient la première partie.

Black Anvil : Un black metal varié et efficace

Je sais que je sors ça des boules à mites, mais la dernière fois que j’ai vu Black Anvil en spectacle c’était en 2010 en première partie de Watain aux Foufs. À l’époque, la formation américaine oeuvrait dans un black/thrash assez standard qui ne se démarquait pas tant que ça. Force est de constater qu’ils ont bien évolué au cours des années, et ce, dans la bonne direction. C’était une bonne occasion pour eux de faire la promotion de leur plus récent album, Regenesis sorti la veille. C’est devant une salle très bien remplie qu’ils nous ont présenté leur black metal assez varié, allant de l’atmosphérique à des moments plus thrashy et, dans l’ensemble, j’ai bien apprécié mon expérience. Je dois par contre mentionner que l’utilisation de clean vocals à certains moments m’ont laissé un peu perplexe. Non parce que c’était des clean vocals, mais parce que ça sonnait un peu bizarre avec leur musique. Les gars de Black Anvil ont offert une bonne prestation et ça a été assez pour que je veuille explorer leur matériel!

SetlistIn Two, The Bet, 29, 8-Bit Terror, Grant Us His Love, Castrum Doloris

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Immolation : Un désastre…

Je dois être honnête, parmi tous les groupes de death metal classiques, Immolation est celui qui m’a toujours plu le moins. C’est donc avec un peu d’indifférence que je suis lancé dans leur set, en espérant y trouver mon compte en spectacle. Je ne sais pas comment amener ça poliment…c’était dégueulasse. Bon, je vais devoir extrapoler un peu là-dessus quand même! La bass, le vocal et les guitares…ça allait dans l’ensemble. Le gros problème était du côté du drum et je ne parle même pas de problèmes techniques ici. Le drummer était incapable d’utiliser ses pédales de bass drum correctement. C’était tellement tout croche que les gens dans le public se regardaient, confus, à savoir si c’était le son le problème ou pas. Ça a carrément gâché mon expérience et je n’étais pas le seul. C’était un peu la même chose du côté des solos qui étaient parfois corrects, parfois on aurait dit que c’était carrément off tempo. Ça a donc été un 45 minutes long et pénible de mon côté et pour un groupe qui existe depuis 1988, je ne comprends vraiment pas ce qui s’est passé.

Setlist : An Act of God, The Age of No Light, Swarm of Terror, Noose of Thorns, The Distorting Light, Overtures of the Wicked, Burial Ground, Shed the Light, Of Martyrs and Men, When Halos Burn, Apostle

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Dark Funeral : Une vraie machine de guerre!

Après une prestation aussi désastreuse de la part d’Immolation, j’espérais fortement que celle de Dark Funeral allait me faire oublier tout ça. Dès les premières notes de Unchain My Soul, j’ai poussé un soupir de soulagement! Le drum mitraillait à qui mieux mieux et tout sonnait vraiment bien sauf le vocal qui a été inaudible que pour quelques instants seulement. Le son des guitares aurait pu être un peu plus fort, mais on ne peut pas tout avoir non plus! Tous les musiciens avaient une prestance extraordinaire et se donnaient corps et âme sur scène. Leur chanteur Heljarmadr avait un vocal puissant et grim à souhait qui ne pouvait que te faire plisser de la face! Malgré le fait que le groupe a sorti un nouvel album cette année intitulé We Are The Apocalypse, ils ont quand même joué plusieurs vieilles chansons comme The Secrets Of The Black Arts et Open The Gates qui ont été terriblement efficaces. On a même eu droit à un moment un peu plus midtempo avec la pièce When I’m Gone, plus mélancolique et plus mélodique mais qui sonnait très bien en live. Ils nous ont finalement laissé avec Where Shadows Forever Reign et, honnêtement, j’en aurais pris plus. Dark Funeral est toujours une valeur sûre en spectacle et j’ai hâte au jour où ils viendront en tête d’affiche à Montréal!

SetlistUnchain My Soul, Hail Murder, Leviathan, My Funeral, The Secrets of the Black Arts, Open the Gates, When I’m Gone, Nail Them to the Cross, Let the Devil In, Where Shadows Forever Reign

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Cannibal Corpse : Une grosse claque!

Malgré mes nombreuses années à aller voir des spectacles, c’était la première fois que je voyais Cannibal Corpse en salle. Je connais quand même pas mal leur discographie et j’ai bien aimé Violence Unimagined sorti l’an passé. C’était donc l’occasion pour moi de me déboîter le cou comme il faut sans pour autant qu’il devienne aussi musclé que celui de Corpsegrinder. Disons qu’il fallait être prêt physiquement et mentalement pour ce spectacle-là car on allait se faire balancer 18 chansons brutales en pleine gueule! C’était vraiment bien d’entendre des nouvelles chansons comme Inhumane Harvest et Necrogenic Resurrection mais aussi des vieux classiques comme Fucked With A Knife, I Cum Blood ou encore Stripped, Raped And Strangled. Tous les musiciens étaient visiblement en forme et c’était la première fois que je voyais la formation avec Erik Rutan de Hate Eternal à la guitare (et ses solos étaient tout simplement démentiels)! C’est également toujours spécial de voir le contraste énorme entre la personnalité de nice guy de Corpsegrinder et ses vocaux d’outre-tombe et ses windmills incessants.  Je n’ai pas besoin de vous mentionner à quel point le pit a été chaotique du début à la fin du spectacle, ça allait de soi! Le tout s’est terminé avec leur classique Hammer Smashed Face, au grand plaisir de tout le monde. Les gars de Cannibal Corpse ont complètement détruit le MTELUS avec un set qui a clairement plu aux fans présents.

SetlistScourge of Iron, The Time to Kill Is Now, Inhumane Harvest, Code of the Slashers, Fucked With a Knife, The Wretched Spawn, Gutted, Kill or Become, I Cum Blood, Evisceration Plague, Death Walking Terror, Condemnation Contagion, Necrogenic Resurrection, Unleashing the Bloodthirsty, Devoured by Vermin, A Skull Full of Maggots, Stripped, Raped and Strangled, Hammer Smashed Face

Auteur : Maxime Pagé

Photographe : Josian Neveu

Quinze albums métal à découvrir en mars

Dark FuneralWe Are The Apocalypse

Les légendes du black metal suédois Dark Funeral sont de retour avec We Are The Apocalypse, leur septième album! À quoi peut-on s’attendre avec ce nouvel opus? Rien de moins que le son d’une machine infernale bien huilée qui détruit tout sur son passage!

Date de sortie : 18 mars 2022

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Abbath Dread Reaver

Une autre grosse pointure du black metal revient de loin avec un tout nouvel album intitulé Dread Reaver! Après des années de problèmes de consommation, Abbath revient plus fort que jamais même si, on va se le dire, c’est clairement pas la pochette de l’année!

Date de sortie : 25 mars 2022

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Midnight Let There Be Witchery

Le groupe Midnight, qui a le vent dans les voiles depuis quelques années, est de retour avec Let There Be Witchery. On a ici un black/speed metal très old school et très efficace qui va certainement faire tripper les fans du genre!

Date de sortie : 4 mars 2022

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Arkaik Labyrinth Of Hungry Ghosts

On quitte le black metal pour aller vers le tech death avec le groupe américain Arkaik qui nous présente Labyrinth Of Hungry Ghosts, leur sixième album. Des riffs à couper au couteau, un drum dans le tapis et un vocal bien gras, que demander de plus!

Date de sortie : 11 mars 2022

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Agathodaimon The Seven

Quand j’ai vu qu’Agathodaimon sortait un nouvel album en 2022, j’ai été assez surpris! Je croyais le groupe de black/gothic metal était mort et enterré depuis très longtemps. Cette nouvelle mouture laisse tomber le côté goth qu’on trouvait sur Serpent’s Embrace pour une sonorité plus black metal. À suivre!

Date de sortie : 18 mars 2022

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Hath All That Was Promised

Les Américains de Hath, qui ont eu une très belle visibilité avec leur album précédent, nous reviennent avec All That Was Promised dont la pochette très chaotique et badass fitte parfaitement avec leur musique! Si vous aimez le black/death avec une touche un peu prog, ça devrait vous plaire.

Date de sortie : 2 mars 2022

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Deserted FearDoomsday

Même si Deserted Fear est classé dans le death metal, on s’entend pour dire que ça flirte beaucoup plus avec le melodeath qu’autre chose! Et vous savez quoi? C’est bien parfait comme ça! J’y vois un mélange de melodeath finlandais comme Omnium Gatherum et le melodeath allemand à la Night In Gales!

Date de sortie : 4 mars 2022

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Kuolemanlaakso Kussumu

Les fans de melodic doom/death se doivent de connaître le groupe finlandais Kuolemanlaakso dont le chanteur n’est nul autre que Mikko Kotamäki de Swallow The Sun. Amateurs de musique sombre et mélancolique, cet album est pour vous!

Date de sortie : 4 mars 2022

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Falls Of RaurosKey To A Vanishing Future

Quand on pense à du black/folk metal, on pense souvent à des groupes européens. Détrompez-vous! La scène américaine est en pleine effervescence et Falls Of Rauros en est un excellent exemple! Pour les fans d’Agalloch et de Fen!

Date de sortie : 25 mars 2022

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Extinction A.D.Culture Of Violence

J’ai un gros penchant pour le thrash metal et avec une petite touche de crossover, c’est encore mieux! Extinction A.D. sortira Culture Of Violence le mois prochain et ça risque de rentrer dans le dash en s’il-vous-plaît! Pas convaincu? Allez écouter leur extrait Mastic!

Date de sortie : 18 mars 2022

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ZONE DÉCOUVERTE

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The DefacedCharlatans

Tu t’ennuies du death/thrash groovy des années 2000? C’est en plein dans ce créneau-là qu’oeuvre le groupe The Defaced et, sérieusement, je trouve ça assez efficace! Si t’aimes The Haunted ou encore Darkane, ça va te faire capoter!

Date de sortie : 4 mars 2022

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Kvaen The Great Below

Le one man band Kvaen y va avec un pagan black metal pas piqué des vers avec une pochette tout simplement sublime! Je n’ai eu qu’à écouter l’extrait The Great Below pour être conquis! Le serez-vous également?

Date de sortie : 25 mars 2022

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Bastard Rotten Blood

Je suis tombé sur le band de black/thrash Bastard (ouais c’est pas le nom du siècle) un peu par hasard et surtout parce que l’artwork de Rotten Blood m’avait interpellé! Disons que dans ce cas-ci, le hasard fait bien les choses!

Date de sortie : 11 mars 2022

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Grand HarvestConsummatum Est

Le groupe de death/doom suédois Grand Harvest nous présente Consummatum Est, son tout premier album et, après avoir écouté l’extrait Fatehammer, je suis convaincu que ce groupe-là va aller loin avec le potentiel qu’il a!

Date de sortie : 25 mars 2022

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Idol Of FearTrespasser

On termine avec Idol Of Fear, un groupe assez particulier! Ils sont classés dans un black metal expérimental où on y trouve de l’ambiant, du violoncelle et de la mélancolie! À vous de vous faire votre propre idée!

Date de sortie : 11 mars 2022

Auteur : Maxime Pagé

 

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