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En route vers Heavy MTL – Soir 2 @ Katacombes (Montréal)

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13 février2014 – La deuxième soirée du concours En Route Vers Heavy MTL s’est déroulée à la coop Katacombes, sous les yeux des juges Jon Asher, Jason Rockman, JF Michaud, Dave Boucher et le chanteur Elliot Desgagnés, de Beneath the Massacre.

Red Skies ont ouvert le bal avec un core simple et efficace, qui à engagé plusieurs membres de l’assistance à une bataille sans merci contre les ninjas invisibles si communs dans ce genre de spectacle. Avec une performance énergique et une bonne interaction avec le public, leur chanteur a porté leur spectacle. Leurs compositions bien montées ont tirés plusieurs bons commentaires des juges, et leur a mérité de passer en finale. Depuis la première édition du concours, c’est le premier groupe ayant ouvert le spectacle qui a remporté la victoire.

Endvade a ensuite pris la scène. Ils ont une approche plus agressive en spectacle qu’en studio, avec une bonne maîtrise de leurs instruments et une belle cohésion sur scène. Leur musique plus technique à un peu moins accroché le public, et le son des Katacombes n’a malheureusement pas joué en leur faveur. Leurs compositions sont matures et bien montées mais leur performance n’est malheureusement pas encore tout à fait polie pour se retrouver sur la scène du Heavy MTL

This Town, Going Under ont poursuivi le spectacle avec un post-hardcore direct, mais pas très original. Ils ont démontré un bon sens de la scène, avec un son bien travaillé et un spectacle bien monté. La foule n’a pas tout à fait accroché, malgré que les juges aient été impressionnés par la performance.

La soirée s’est conclue trop tard pour que NoDirectionHome aie un public substantiel. Leur hardcore avec beaucoup d’influences thrash donne un bon spectacle, mais malgré une bonne performance, le public maintenant clairsemé n’était simplement pas de leur côté et les vocals un peu trop harsh et sortant mal du mix les ont un peu coulé .  Dommage, parce que leur énergie sur scène était bonne.

On se retrouve le 27 mars prochain à la coop Katacombes pour la troisième soirée En Route Vers Heavy MTL! Les groupes présents seront: Kolony, Warsenal, Venomenon et Point Blank Rage.

Vous voulez gagner une paire de billets pour le spectacle? Rendez-vous sur notre page Concours!

Auteur: Phil Mandeville

Photographe : Paul Blondé

Pour en savoir plus: Endvade, This Town Going Under, Red Skies, NoDirectionHome

En Entrevue: Max Lemire + Savage Phil (Dance Laury Dance)

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5 février 2014 – On avait la chance de passer du temps avec Max Lemire et Savage Phil de Dance Laury Dance pour parler de leur tout dernier album, leur vie sur la route, le sexe, la drogue et le rock n’ roll.

httpv://youtu.be/-2Nvf-cTMV4

Entrevue par : Phil Mandeville

Vidéo et Photos par : Paul Blondé

Album Review: Duo De Twang – Four Foot Shack

LCDDT_FFS_cover_high_res_2Les Claypool, pêcheur extraordinaire et frontman du groupe alternatif Primus, a formé le Duo de Twang avec Bryan Kehoe (M.I.R.V.) pour produire un album country acoustique, Four Foot Shack. Le résultat est une oeuvre déconstruite, avec un son très ancré dans les racines musicales américaines avec une basse Dobro et une guitare acoustique, avec des percussions plus que minimalistes. Avec le Duo De TwangClaypool et Kehoe lancent leur auditoire dans leurs expérimentations avec ce qu’ils appellent le twang, le son particulier des instruments acoustiques, enregistrées dans le studio personnel du bassiste.

L’album est constitué d’une série de reprises, notamment quelques compositions de Claypool (par exemple Red State Girl et Rumble of the Diesel) de Primus (Jerry Was A Racecar Driver, Wynona’s Big Brown Beaver) et d’autres covers surprenants comme Stayin’ Alive (The Bee Gee’s),  Pipeline (The Chantays) et Man In The Box (Alice In Chains). En tout, 15 morceaux présentent l’esprit musical bien particulier de Claypool. L’expérimentation paye la majorité du temps, plusieurs des morceaux ayant une saveur très différente avec le traitement country. D’autres, par contre, sont tellement différentes de l’original qu’elles sont presque troublantes, notamment Stayin’ Alive et Jerry Was a Racecar Driver. Ces chansons ont toutes un petit côté hypnotisant, gracieuseté du traitement twang, mais l’accord entre disco et country  n’est pas évident… L’album, dans son ensemble, plaira aux amateurs de la voix nasillarde et de l’esprit musical excentrique de Les Claypool. L’absence de compositions originales pour ce projet est un peu décevante, mais l’arrangement des morceaux montrent bien le talent et la chimie des deux musiciens. Le projet est amusant et rafraîchissant, et est définitivement un must pour les amateurs de country et de bluegrass en plus de ceux qui aiment la musique de Primus.

Note : 8.5/10 – Ça sent le gaz et le feu de camp.

Auteur: Phil Mandeville

En route vers Heavy MTL @ Katacombes

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1 février 2014 – La compétition annuelle En Route Vers Heavy MTL est officiellement lancée! Encore une fois cette année, Dungeon Works productions et evenko vont donner la chance à deux groupes de performer sur la scène du plus gros festival metal d’Amérique du Nord. The Unconscious Mind, Valfreya, Karkaos et Your Last Wish ont lancé la compétition jugée par Jason Rockman (CHOM, Slaves on Dope), Kevin Jardine (Uplift Studios), ChaotH (Unexpect), Chris Donaldson (Garage Studio) et Jon Asher (H.M.M.A.C.)

The Unconscious Mind ont été les premiers à prendre la scène avec leur death metal très technique. la foule s’est réveillée des le départ, portés par les solos de guitare et les rythmes endiablés. Les musiciens ont offert une performance sans faille au niveau technique, mais manquaient de présence sur scène à côté de leurs compétiteurs.

Valfreya ont ensuite prouvé que leur musique avait pris de la maturité depuis leur première participation au concours en 2012. Les musiciens ont raffiné leur art, mais leur nouveau batteur a un style un peu trop rapide et agressif pour la veine de power metal du groupe. Le spectacle est toujours au rendez vous avec eux mais la musique reste encore à travailler pour faire embarquer le public à fond.

Karkaos sont ensuite montés sur scène avec une énergie impressionnante, qui en a fait sauter plus d’un dans le mosh pit. La cohésion du groupe y était, malgré la petite scène des Katacombes et la chanteuse Veronica Rodriguez qui ne s’entendait pas. La musique a pris les juges et les spectateurs par surprise, avec les compositions accrocheuses et l’exécution énergique des musiciens.

Your Last Wish ont conclu la première soirée du concourant avec leur death metal brutal, leur chanteuse Roxana Bouchard arrachant le titre de meilleure frontwoman de la soirée avec son énergie incomparable. Les guitares à huit cordes et la basse à six cordes ont pris d’assaut l’audition des spectateurs et les musiciens ont fait preuve d’une belle cohésion. Les musiciens font preuve d’une belle expertise, mais les compositions lourdes et techniques manquent d’éléments pour attirer le public dans une prestation live.

Les quatre groupes représentent un bel avenir pour la scène locale, approchant tous de l’excellence dans leurs champs respectifs. La compétition était féroce, mais c’est toutefois Karkaos qui a accédé à la finale avec leur musique un peuplus accessible et accrocheuse. La seconde soirée aura lieu le 13 février prochain à la coop Katacombes, avec les groupes Endvade, No Direction Home, This Town Going Under et Red Skies. Vous voulez avoir la chance de gagner des billets pour le second événement? Rendez vous sur la page Facebook de Silver Wings Studios!

Auteur: Phil Mandeville

Photographe : Paul Blondé

Pour en savoir plus: The Unconscious Mind Valfreya Karkaos Your Last Wish

Reverend Horton Heat @ Club Soda (Montréal)

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22 janvier 2014 – Nekromantix, le groupe, qui a brisé la barrière entre horror punk et psychobilly, ont offert un solide spectacle. Ils avaient une très bonne communion avec la foule, qui s’est lancée dans un petit mosh pit à quelques reprises. Ils ont connu plusieurs changements de lineup à travers les années, mais la formation la plus récente qui inclut la batteuse Lux (ex- Mystery Hangup, Sacred Storm) et le guitariste Francesco Mesa (ex – Nightbreed, Ultimo Asalto) en plus du chanteur et bassiste Kim Nekroman a une présence et un son impressionnants sur scène. Il est plutôt rare de tomber sur cet ensemble à Montréal, et les spectateurs en ont profité! 

Reverend Horton Heat ont ensuite pris la scène en se lançant immédiatement dans Victory Lap et Smell of Gasoline, tirées du plus récent album du groupe, REV (2014, Victory Records). Ils ont joué beaucoup de morceaux de cet opus, dont Zombie Dumb, Spooky Boots et Let Me Show You How To Eat. Le groupe était dans une forme exemplaire et ont démontré l’étendue de leur talent, le chanteur et guitariste Jim Heath n’hésitant pas à grimer sur la contrebasse de Jimbo Wallace pour faire quelques solos, qui ont lancé les spectateurs dans plus d’une danse endiablée. L’ensemble psychobilly avait un long catalogue duquel il a pu choisir sa setlist et en tirer pour tous les goûts, notamment leurs classiques Psychobilly Freakout, Baddest of the Bad et Galaxy 500. Ils ont coupé du spectacle les demandes spéciales de la foule au profit des morceaux tirés du nouvel album, mais le Reverend Horton Heat a tout de même su tirer son épingle du jeu et satisfaire les spectateurs, qui remplissaient presque le Club Soda. Le spectacle était présenté par evenko.

Auteur : Phil Mandeville

Photographe: Paul Blondé

Pour en savoir plus: Nekromantix, Reverend Horton Heat

En Entrevue: Joe Satriani

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Thorium a eu la chance de rencontrer le légendaire guitariste Joe Satriani lors de sa tournée de promotion pour l’album Unstoppable Momentum. Au menu: comment créer de la nouvelle musique pour un 14e album et comment réunir un groupe de musiciens de talent autour d’un guitar god.

T : How goes your tour so far ?

Joe Satriani : It’s been great ! We started touring back in the summer, we’ve been in Europe for five weeks, and we’ve been out for a month and a half across the US. We’ve been in Canada for almost a week, it’s been really good.

T : How does it feel to be back in Montreal ?

JS : I’ve only been here a few hours ! I usually really connect with a city when I go out on stage and go in front of the audience.

T : You’ve released a new album in 2013, Unstoppable Momentum. How hard is it to come out with new music after thirty years ?

JS : It’s funny because the album title is all about the fact that it’s not been difficult. I was surprised at how excited and interested I was. The big picture about coming up with a concept for a album is getting smaller. What kind of music, what kind of songs will we play ? Even the little things, what pics will I use, will I change the size of my strings… All those things, still, I find very exciting to deal with, even the tiniest of details. I wrote the title track based on that realisation, that after so many years I’m still as excited as a teenage kid who gets his first guitar !

T : How do you feel this album compares to the rest of your catalog ?

JS : It’s hard for me to say. It’s something for you to decide : The critics, the reviewers and the fans have a different, a more unbiased way of looking at it. For me the albums are all works in progress, I don’t really finish them. I never look back and compare them either, I don’T think that way. I always think about moving forward. My main concern is if I captured, on the new album, exactly how I felt at that moment. When I’m done, I force myself to think about the next record.

T : There are a lot of backing tracks, piano, etc. on the newest record. What can we expect from it live ?  Was the rearrangement difficult ?

JS : You have to be prepared, and the musicians have to be really good to pull it off. I think ultimately the payoff is in the organic nature of the recording, and the audience picks off on that. It becomes a record they can listen to over and over again, and it sorts of becomes fresh each time they listen to it. I feel that’s the beauty of having either all live or partial live performance as part of a recording.

T : You’ve built a very different band for the tour than you had for the album. How hard is it to pull a show off with them ?

JS : I got really lucky that I could work with a team that had worked together before. On the new record I had Chris Chaney on bass, from Jane’s Addiction, and Vinnie Caliuta on drums, and Mike Keneally who’d come back from my previous album and tours. When I was thinking about putting a band together, I was thinking that this new band has to not only interpret the new album, but also look back to all the albums, all the thirteen previous studio records, and all the things that we’ve done at G3, and the live DVDs. I thought that it would be great if I could get guys that know each other a little bit. Turns out that Marco Minnemann, Bryan Belley and Mike have played with each other in different forms for twenty years. They played in Aristocrats, they play in Dethklok, Zappa Plays Zappa, even each others’ solo albums and tours. That gave me a chance to tap in how they can improvise with each other on stage.

T : Are they part of the creative process to go from the studio recordings to the live act ?

JS : The way that we’ve always run the show is that it’s a balance between discipline and melody. It’s really what the audience is responding to. They fall in love with the music because of the melody, harmony and uniqueness of each song. If you start to break that down, the whole thing falls apart, because we don’t have lyrics. If it’s an instrumental and screw around with melody, you’ve lost it ! You have to preserve that in each one of the songs. What we’ve been able to do is take the arrangements of some of the songs and designate areas for improvisations. This is where this particular live band has been particularly shining. It makes each night a little bit different and keeps the tour really fun for us.

T : How do you get all those guys together ?

JS : You give them a call ! *laughs* See if they want to do it ! Everybody has to move their schedule around for it to work. We all respect each other’s different desires, and we want to accomplish with our different bands. You give me march and april, I’ll give you june and july, you give me september and october and keep november and december. That kind of things.

T : How hard is it to conciliate all your touring with your personal life ?

JS : It’s not too bad. My family’s been around me most of the time, and I think combining family with music is a great way to live. It’s really not a problem for us.

T : You’re also known for your guitar teaching. You’ve tutored a lot of now famous musicians over the years, some of them we still hear about. How important for you is it to share your love of music that way ?

JS : Many years ago, teaching was kind of a day job for me. I was in a rock band that played clubs in the San Francisco Bay area, during the day I was teaching guitar, and it was a lot of fun, kept me involved in music instead of waiting tables, or whatever. Since I spent my whole life in music, I never really had another profession to rely on. I became a very lucky teacher in that I had students like Kirk Hammet, Alex Skolnick, charlie Hunter… A host of really great players. They made teaching a lot of fun. I haven’t been a professionnal teacher from January of 1988, I gave my last lesson to Kirk Hammet and then I went out on the Surfing with the Alien tour, and it’s not something I do anymore.

T : Is it something you want to start again if you stop touring eventually ?

JS : Maybe. I’m not really sure. I recently thought it would be a shame to stop traveling, I really love going around the world, there’s so many great places to go. I’ve kinda fallen in love with all the poeple around the world that we’ve played for. I just think I’d slow it down, as I get older. Right now, we’re still rocking and rolling pretty hard, because we like it. Once in a while, we’ll do a master class or a rock n’ roll fantasy camp, but I only do maybe one every couple of years.

T : From your teaching years, can you tell something to all the budding guitarists out there ?

JS : You gotta practice ! If you don’t practice to play well, you’re gonna perform pretty badly. That’s what I used to see over and over again. I know when you’re very young playing music is very much your social scene, sometimes people can overpractice a few things. The hardest thing to teach a young person is to practice a little of a lot of things, and to prepare for ten, twenty years down the road. I know exactly what it’s like to be fourteen and standing on a stage in high school, you feel the pressure of your friends more than the weight of musicianship. Most likely, musicians who are 14 or 15 will live to be 50 and will be playing music somewhere. All that work that they didn’t do will be obvious. That comes a lot earlier than they think. In their 20’s, it becomes obivous if they really practiced well in their teens. It’s not about practicing to play the fastest, it’s about trying to understand what notes and chords do to the audience. That’s what it’s all about. We provide music and it has an emotional impact on our audience. They depend on us to give them music, we all need it in our lives. When you get that straight, you start thinking : Well, I have to understand chords and scales and melodies and timing. It’s hard to imprint a young person with that, but that’s the lesson that will benefit you the most. It can be in any style, theory has no style ! You don’t have to stress your body by trying to play too fast or the same over and over again just to impress your buddies. No one’s interested in that.

T : All right, anything else you want to add for your Montreal fans ?

JS : I just want to say thank you for inviting us back ! We love it here, I’m so glad to be back !

Entrevue: Phil Mandeville

Photographe: Paul Blondé

Pour en savoir plus: Joe Satriani

En Entrevue: John Garcia (Vista Chino)

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Thorium avait la chance de rencontrer John Garcia de Vista Chino pour une entrevue d’une dizaine de minutes avant son concert au Théâtre Corona de Montréal le 23 septembre 2013.

httpv://youtu.be/TbZiTE8_94A

Auteur & Montage : Paul Blondé

Entrevue: Phil Mandeville

Photographe: Paul Blondé

Pour en savoir plus: John Garcia, Vista Chino

En entrevue: Kai Hahto (Wintersun)

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L’équipe de Thorium avait la chance rencontrer le batteur Kai Hahto, du groupe Wintersun, avant sa performance au Heavy MTL 2013. Au programme : la vie sur la route, la tournée estivale du groupe et le contenu de leur prochain album.

httpv://youtu.be/yYXYMF_TcY0

Auteur & Montage : Paul Blondé

Entrevue: Phil Mandeville

Photographe: Paul Blondé

Pour en savoir plus: Kai Hahto, Wintersun, Heavy MTL

Incoming: Une Soirée Avec Zakk Wylde @ Théâtre Corona (Montréal)

Le motard/viking/guitar god Zakk Wylde sera de passage au Théâtre Corona Virgin Mobile de Montréal le 21 février prochain, pour offrir à ses fans une soirée acoustique. Au menu, des chansons qui ne sont pas jouées quand il est en tournée avec Black Label Society, tirées des albums Book of Shadows et Pride and Glory, en plus de versions réarrangées des chansons les plus populaires du groupe. Montréal sera le dernier arrêt de cette tournée qui sera lancée à Vancouver le 13 février, et le spectacle est présenté par evenko.

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httpv://www.youtube.com/watch?v=icEHA2DGFCk

Auteur: Phil Mandeville

Crédit Photo: Zakk Wylde

Pixies @ Metropolis (Montréal)

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16 janvier 2014 – Le groupe alternatif / noise rock The Pixies étaient de passage au Metropolis de Montréal pour la promotion de leurs deux plus récents opus, EP1 et EP2, parus le 3 septembre 2013 et le 3 janvier 2014 respectivement de façon indépendante sur leur site web.

C’est devant une salle remplie à craquer qu’ils ont étonne leurs plus gros hits, repris par l’assistance composée autant de nouveaux que d’anciens fans. En plus des nouveaux morceaux de EP1, EP2 et Bagboy, le groupe a joué l’album Doolittle (1989, 4AD) presque en son entier, et des gros tubes comme Where Is My Mind, Vamos et Planet of Sound qui a conclu la soirée. La bassiste Paz Lenchantin, (ex- A Perfect Circle) a montré qu’elle remplissait très bien les souliers de sa prédécesseure et membre fondatrice Kim Deal, dont le départ en 2013 a déçu beaucoup de fans. Son énergie sur scène est admirable et elle a prouvé sur scène que les Pixies étaient revenus en force, mais il reste toujours à voir quel élan créateur elle pourra amener au groupe pour leurs prochaines compositions. Le chanteur Black Francis a gardé la voix après près de trente ans de carrière et suit admirablement les solos balancés par Joey Santiago et les rythmes de David Lovering. Le groupe a prouvé aux sceptiques que le départ de Deal n’a pas scellé leur sort, malgré tout.

Auteur: Phil Mandeville

Photographe: Paul Blondé

Pour en savoir plus: The Pixies

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