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Fouille-moi pourquoi, mais la programmation Igloofest 2017 m’attirait moins cette année. L’exception à la règle; jeudi le 2 février, avec nos montréalais favoris Snails et Apashe! On a probablement assisté au jeudi le plus bondé de l’édition 2017, à s’y méprendre pour un vendredi. On a été quelques milliers à oublier nos obligations du lendemain pour se donner à fond sur un dancefloor plein à craquer. Les mots me manquent encore pour expliquer cette soirée sur les quais…

Honnêtement, qu’est-ce que tu voulais de plus que du vomistep, des mosh pits, un wall of death, des projections insane, de la bass et encore de la bass, avec par dessus du tout ça un set complètement dément qui arrêtait ja-mais? Mon corps s’en est toujours pas remis et je suis prête à parier que c’était la meilleure soirée que le Quai Jacques-Cartier aura jamais vécu. À quoi bon s’habiller si chaudement quand la foule dansait tellement que les zippers s’ouvraient et que les épaisseurs de vêtements tombaient? À l’exception d’un petit répit pour souligner la musique québécoise, Snails nous donnaient drop après drop, pas étonnant que tout le monde s’est retrouvé au Newspeak pour l’afterparty officiel afin de poursuivre le party comme il se doit (parce que minuit, c’est trop tôt!).

Confession nocturne, j’ai eu mal au cou pendant 3 jours. That’s what happens when you headbang for 3 hours straight. Ça en dit long sur la soirée qu’on a passé et celle que plusieurs ont regretté de ne pas être venu. Pour avoir rêvé longtemps de jouer sur la scène principale Igloofest comme headliners, on peut aisément dire que Snails et Apashe ont remportés la défi haut la main.

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Auteure: Laurie Goudreau

Credit photo: Igloofest/Ash G Photo