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08 février 2017 – Pour le trentième volet des Curiosités, Le Bikini s’est offert une belle triplette qui, dans l’ensemble, a largement convaincu le public. En introduction, le groupe Mirror, particulièrement connu pour être le duo violoncelle / DJ qui accompagne Bigflo & Oli sur leurs tournées. Pourtant, malgré le final de leur live animé sur le rythme oriental de Faun, leur titre phare (servant d’instru au dernier morceau des deux frères À mon retour), leur production est très éloignée de ce que nous pouvons entendre en accompagnement du flow des deux rappeurs, et c’est une musique très planante qui a d’emblée envahit la salle. Dans une ambiance onirique, les deux DJs – Luc Blanchot au violoncelle/machines et Denshu Kozo aux machines – nous ont fait découvrir une electro ambiant, tout à la fois différente mais dans la lignée de ce que nous propose la French Touch ces temps-ci (avec des artistes comme Superpoze, Thylacine etc.). C’est finalement en douceur, malgré des morceaux un peu plus énergiques, que la soirée s’est mise en place; et nous saluons la programmation du Bikini. En effet, mettre de l’electro en avant-bouche des deux autres groupes annoncés peut paraître osé, mais cela s’est révélée une parfaite introduction, pour mieux profiter encore de la suite. Après un changement de scène où les platines laisseront leur place aux instruments, c’est au groupe breton Her de venir enflammer le Bikini, ou plutôt de lui déclarer sa flamme sur des airs sensuels voire érotiques. Avec des classiques tels que Quite Like ou Five minutes en clé de voûte; les paroles très charnelles de certains morceaux ne trompent pas. En revanche, un aspect moins marquant dans les versions studios est le groove présent dans la plupart des morceaux, et qui est venu contraster, rythmer leur prestation à la plus grande joie du public. Un live très réussi donc, et qui est venue clore une première partie de haut niveau (quand bien même ce n’est pas toujours le cas). Avec un rythme majoritairement calme bien que crescendo, Talisco ne pouvait pas mieux tomber. Avec leur dernier album, Capitol Vision (Roy Music, 2017), le groupe s’est armé d’une musique plus électrique, plus “rock” que leur premier album. De fait, leur nouvelle production est plus adaptée à la mise en scène et à l’écoute live, comme le dit lui même Jérôme Armandi, leader du groupe. De fait, leur musique est extrêmement efficace, et “il n’y a pas de détour” comme dans leurs premiers morceaux, The Keys en tête. Alors, malgré une excellente première partie, Talisco s’est montré à la hauteur de nos espérances.. En somme, une nouvelle affiche réussie pour le Bikini, et qui a répondu à toutes les attentes. Une soirée electro-rock bien articulée, avec une programmation rythmiquement bien pensée et des groupes au top : vivement la 31ème édition. Auteur : David VACHER Photographe : Jérôme JACQUES

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Mirror


Her


Talisco

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